¤ Twincest Powaa ¤

ATTENTION !!!
C'est une fic Yaoi, sur les Jumeaux
Y'a du sexe, y'a du viole, et j'en passe
Alors faites gaffes
J'vous ai prév'nu, c pas ma faute si après vous êtes choqués
C'est partit

oO°Oo Chapitre 1 oO°Oo

Tout commença par un soir de Juillet au Terrier. Il était tard, très tard même. Fred allait enfin se coucher après avoir passer une bonne partie de la nuit à réfléchir. Réfléchir à quoi? A ce qu'il s'était passé avec son jumeau plus tôt dans la journée bien sûr.


~ FLASH BACK ~

Le rouquin venait de se lever et prit aussitôt l'initiative d'aller prendre une bonne douche. Arrivé dans la salle de bains, il ôta son pyjama (Clin d'Oeil à ma Nète :red) avant d'entrer sous la douche. Il alluma le robinet, et l'eau vint couler rapidement le long de son corps imberbe et musclé. Une fois débarbouillé, il sortit de la cabine et s'essuya avec ferveur, avant d'enfiler un caleçon. Il se mit ensuite face au miroir afin de se brosser les dents, et une fois le fait accompli, il releva la tête. Son coeur fit un bon dans sa poitrine à la vue de son double, sa moitié, celui qu'il aimait depuis bien des années. En effet, Fred s'était rendu compte de ses sentiments pour son frère il y'avait trois ans, lorsque tous deux n' en avaient que quatorze. Le rouquin avait tout d'abord essayé de se persuader que c'était normal, car ils étaient tous deux jumeaux, ils étaient liés d'un amour profond. Mais la réalité lui éclata bien vite aux yeux, la façon dont il réagissait devant lui n'avait rien de fraternelle. Pourquoi se sentait-t-il rougir quand Georges lui murmurait ses idioties à l'oreille? Pourquoi sa respiration s'arrêtait-elle dès que Georges était tout près de lui? Pourquoi sentait-il son coeur s'accélérer lorsque Georges lui souriait? Pourquoi perdait-il tous ses moyens lorsque tard le soir, Georges venait le rejoindre dans son lit, pour pouvoir parler moins fort et ne pas réveiller le reste de la famille? Pourquoi sentait-il la jalousie monter en lui, quand Georges discutait avec de jolies jeunes filles? Pourquoi pleurait-il silencieusement le soir, en se disant que Georges était son frère, qu'il ne pourrait jamais rien se passer entre eux? Pour une seule raison, celle-ci: Fred était amoureux de sa propre moitié, l'évidence était là. Essayant de reprendre ses esprits, il se tourna vers son jumeau, un sourire gêné sur le visage.

"Georges? Qu'est-ce que ... Qu'est-ce tu fais là?

Pour toute réponse, ce dernier ferma doucement la porte, avant de s'avancer vers son frère et de le plaquer violemment contre le mur. Fred ne l'avait même pas vu venir, il se demandait ce qu'il pouvait bien lui prendre. A peine eut-il le temps de reprendre ses esprits, qu'il sentit la langue de son frère caresser doucement ses lèvres avant de finir par les emprisonner. Le coeur du rouquin se mit à battre la chamade, et sa respiration se fit plus rapide. La langue de son frère vint à nouveau caresser ses lèvres, comme pour leur demander l'accès. Il entrouvrit légèrement la bouche, ses yeux se fermant petit à petit. La langue de son frère l'invita donc à rejoindre la sienne, toutes deux se cherchant gentiment avant de s'élancer dans une danse enflammée. Mais tout ce bonheur prit rapidement fin. Georges s'arrêta subitement et fit soudainement demi-tour, à la plus grande surprise de Fred. Il ouvrit la porte et fit un clin d'oeil à son frère, avant de quitter la pièce et de refermer cette dernière. Le rouquin resta adossé contre le mur plusieurs minutes, se demandant si tout cela n'était pas qu'un simple rêve. C'était bien trop beau pour être réel. Mais il avait encore le goût des lèvres de son frère sur les siennes, ce dernier l'avait donc bel et bien embrassé! Il secoua la tête, essayant de reprendre ses esprits. Il s'habilla rapidement et éteignit la lumière, avant de fermer la porte et de quitter la salle de bain à son tour.

~ FIN DU FLASH BACK ~


Fred ne savait que penser. Après cet épisode, son double ne lui avait plus accordé un regard, ni même adressé la parole. Sentant la fatigue monter en lui à force d'avoir trop réfléchit, il quitta donc la cuisine pour rejoindre sa chambre. A son arrivée, il ferma doucement la porte avant de retirer ses vêtements. Il enfila son pyjama, avant de se glisser bien chaudement sous sa couverture. Alors qu'il commençait à s'endormir, il entendit de faibles bruits de pas, avant que son frère ne monte sur le lit et se mette à califourchon sur lui. A peine eut-il le temps de comprendre quoique se soit, que ce dernier l'embrassa sauvagement, lui mordant la lèvre inférieur jusqu'au sang. Georges sortit ensuite sa baguette de la poche arrière de son pyjama, et métamorphosa en deux bouts de corde une paire de chaussettes qui se trouvaient là. D'un autre coup de baguette, il insonorisa la pièce et pour finir, les deux cordes enroulèrent les poignets de Fred aux barreaux. La peur s'empara du rouquin. Pourquoi son frère faisait-il cela? Il lui lança un regard d'incompréhension, cherchant une réponse à sa question. Georges s'approcha lentement de son oreille, ce qui fit frissonner le garçon.

"Laisses-moi faire."

Le rouquin avala sa salive avec difficulté. Il lui avait murmurer ces quelques mots à l'oreille, mais le ton dans sa voix n'avait rien de rassurant. N'osant faire le moindre mouvement, les doigts de son frère s'emparèrent alors des boutons de sa chemise, les déboutonnant un par un. Sa bouche, elle, mordait sauvagement la chair de son cou, laissant ses marques à chaque passage. Une fois la chemise déboutonnée, Georges s'attaqua cette fois-ci au torse de son frère, redessinant avec sa langue le contour de ses muscles. Arrivé au niveau du nombril, il le mordilla légèrement avant de remonter précipitamment et de s'en prendre à nouveau à son cou, ses mains enfonçant sauvagement ses ongles dans son torse. Fred se débattit avec ferveur et tira violemment sur les cordes, mais rien n'y faisait. Il était à la merci de son frère. Ce dernier lui fit un sourire en coin et lui mordilla à nouveau la lèvre avant de lui murmurer ces quelques mots:


"Ne te fatigues pas pour rien, tu ne peux pas m'échapper.


Georges reprit donc là où il s'était arrêter, avant de laisser ses mains se balader de plus en plus bas. Il retira le bas du pyjama de son jumeau, qui lui continuait toujours de se débattre. Après que le pantalon est atterrit au pied du lit, il prit en mains la virilité de son frère, puis il commença de rapides vas et viens. Des larmes coulèrent le long des joues de Fred, le suppliant d'arrêter tout ça.

"Georges je t'en pris, arrêtes ..."

Mais le rouquin ne s'arrêta pas, bien au contraire. Il accéléra ses mouvements, mordant cette fois-ci chaque partie de son torse, laissant sur lui des traces de morsures. Son frère le suppliait d'arrêter, le criait même. Ne désirant pas réveiller le reste de la famille, il plaqua une main sur sa bouche. Des larmes coulaient à flots sur le visage de son jumeau, il se débattait violement, mas rien n'y faisait. Georges était beaucoup trop fort pour lui. Ce dernier accéléra encore ses mouvements, ses ongles griffant sa chair. Fred fini par se délivrer dans un long gémissement de douleur. Alors qu'il croyait que tout cela était fini, sa terreur s'intensifia quand son double se déshabilla à son tour. Georges se colla ensuite à son frère, leur deux corps s'entrelaçaient désormais. Sans attendre plus longtemps, il entra violement en son frère, leur corps ne faisant désormais plus qu'un. Fred eut envie de hurler, mais son cri de souffrance fut étouffé par la main de son frère, qui le contraignait toujours au silence. Plus que de sanglots, son corps était maintenant parcourues de spasmes incontrôlables, il était totalement effrayé. Georges commença alors à faire de longs vas et viens, son frère gémissait un peu plus à chaque instant, la peur et la douleur se lisait sur son visage. Le rouquin ne savait pas combien de temps cela avait duré exactement, mais plus d'une heure, c'était certain. Son frère finit par se retirer, arrachant un dernier gémissement au garçon. Il lui remit son pyjama et reboutonna sa chemise, puis il lui défit ses liens, avant de l'embrasser une dernière fois et de regagner son propre lit sans un mot. Fred s'emmitoufla dans sa couette, le corps et le coeur meurtris par la souffrance. Les larmes continuaient à couler silencieusement le long de ses tâches de rousseurs. Pourquoi? Pourquoi Georges lui avait-il fait çela? Pourquoi? Pourquoi? Le rouquin était complètement anéanti. Lui qui s'était tout d'abord cru dans un rêve était finalement tombé dans un véritable cauchemar.

oO°Oo Chapitre 2 oO°Oo

Le lendemain matin, Fred fut réveillé par les cris de sa mère, lui demandant de se lever. Il jeta un coup d'oeil à son réveil, il était plus de onze heures! Il se leva avec difficulté, les larmes aux yeux. Il n'avait qu'une envie: hurler. Hurler sa souffrance, sa peine, son incompréhension. Pourquoi? Pourquoi son frère lui avait-il fait cela? Il l'aimait, il l'aimait depuis bien des années. Il lui aurait donné tout l'Amour dont il était capable, alors pourquoi lui avoir fait cela? Ne trouvant aucune réponse à ses questions, le rouquin attrapa quelques affaires avant de sortir de sa chambre pour aller prendre une bonne douche. Arrivé dans la salle de bain, il fit couler l'eau et se mit dessous, avant d'éclater en sanglots. Il posa son front contre la paroi, essayant de se calmer. Mais il ne pouvait pas, c'était plus fort que lui. Il attrapa le gel douche d'un geste vif, et il s'en étala sur tout le corps. Il se mit à frotter, frotter de toutes se forces. Il se sentait sale, sale après ce que son frère lui avait fait. Après avoir pris la plus longue douche de sa vie, Fred s'emmitoufla dans sa serviette, avant de s'habiller rapidement. Quand il eut fini, il quitta la pièce et descendit les escaliers pour rejoindre la cuisine. Il prit un verre de lait ainsi que qu'un croissant, puis il alla s'asseoir autour de la table avec le reste de la famille. Ginny le regarda d'un air surpris, elle avait l'air de s'inquiéter. Ce qui était tout à fait compréhensible, lorsque l'on voyait la tête du rouquin. En effet, ce dernier avait les yeux rouges et cernés, les lèvres tremblantes, le teint pâle. Il tourna rapidement la tête, comme pour dire à sa soeur qu'elle n'avait pas à s'en faire. Il porta le verre de lait à ses lèvres, et il commença à boire lorsqu'il sentit un souffle chaud dans son cou. Georges s'était approché de lui, le sourire aux lèvres. Sa bouche était tout près de l'oreille de Fred, s'apprêtant à lui murmurer quelques mots.

"Ça doit avoir le même goût, tu ne crois? Je te ferais goûter un jour, histoire de voir si j'ai raison."

A l'entente de ses mots, Fred recracha tout le lait qu'il avait dans la bouche. Pris de nausées, il se leva précipitamment. Il couru jusqu'aux toilettes pour y vomir. Ignoble, son frère était vraiment ignoble avec lui. Les larmes coulèrent à nouveau le long de ses joues, il souffrait. En l'espace de quelques heures, Georges avait tout gâcher. Tous deux avaient toujours été très complices, ils étaient même inséparables. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau, même leurs tâches de rousseur étaient identiques. Ils avaient toujours tout fait ensemble, tout. Cherchant une réponse à ses questions, il fini par conclure que si son jumeau avait changé, c'était parce qu'il savait que Fred était amoureux. Au bout de trois longues années, il avait enfin compris. Tout cela l'avait certainement dégoûté, Fred l'avait certainement dégoûté. Les larmes du rouquin redoublèrent à cette pensée. Son frère, sa propre moitié le haïssait, et il voulait lui faire comprendre. Il le voulait le dégoûter à son tour, le dégoûter de lui-même. Alors qu'il pleurait toujours, Ginny entra dans la pièce en prenant bien soin de refermer la porte derrière elle. Elle s'accroupit ensuite à côté de son frère, le fixant dans les yeux. Ce dernier se réfugia dans ses bras. Elle avait compris, il savait qu'elle avait compris, ça se lisait dans son regard. Il posa la tête sur ses genoux, puis elle commença à lui caresser les cheveux. Ils restèrent ainsi de longues minutes sans échanger un mot. Il pleurait, et elle avait le regard dans le vide. Ils n'avaient pas besoin de parler pour se comprendre. Les larmes du garçon exprimaient sa peine, les caresses de la jeune fille lui donnaient du réconfort. Ils n'avaient pas besoin de plus, le reste, ils s'en fichaient. Lorsque leur mère tenta d'ouvrir la porte en se demandant ce que tous deux fichaient à l'intérieur, Fred et Ginny mirent fin à cet instant reposant et quittèrent la pièce sous le regard d'incompréhension de Mrs Weasley.

Lorsqu'ils eurent pris le repas du Midi en famille, les Weasley retournèrent à leurs occupations. Certains tricotaient, d'autres lisaient un Magazine. Fred en profita pour s'éclipser de la Maison, il avait besoin de prendre l'air et de se changer les idées. Il prit donc le petit sentier qui menait au village, croisant de temps en temps une tête familière qui lui demandait s'il n'était pas tombé malade. L'adolescent avait beau essayer de paraître en forme, son état ne trompait personne. Se sentant gêné face aux multiples questions, il continua son chemin jusqu'à arriver au parc du village. Étrangement, celui-ci n'était pas bondé comme à son habitude. Il était même désert, il n'y avait pas âme qui vive. Le garçon alla s'asseoir au pied d'un arbre, et pleura à nouveau. Ce décor lui rappelait de nombreux souvenirs. Il avait passé tellement de temps ici, à jouer et rigoler avec son frère. Son coeur se serra à la remémoration de ses souvenirs, ce ne serait plus jamais pareil. Fred na savait pas combien de temps il était resté ici, seul, à réfléchir et pleurer. Quand il rentra enfin chez lui, la nuit était déjà tombée sur le village. Après s'être fait remonter les bretelles par sa mère pendant plus d'une demi-heure, il mangea rapidement quelques bricoles avant de monter se coucher. La main sur la poignée de la porte, son coeur battait la chamade. Il priait intérieurement pour que son frère le laisse tranquille, qu'il ne s'approche pas de lui. Il ouvrit doucement la porte et entra dans sa chambre. Il n'eut pas le temps de faire un pas vers son lit qu'il sentit quelqu'un l'attraper et le pousser violemment contre le mur. Le visage de Georges se trouvait à seulement quelques centimètres du sien, il avait l'air en colère. Sentant la panique s'emparer de lui, Fred attrapa sa baguette, elle se trouvait dans la poche arrière de son jean. Il l'avait emmener avec lui quand il avait été faire un tour au village, par simple précaution. Le bout de bois était maintenant pointé sur Georges, et ce dernier regarda son jumeau d'un air surpris. Il ne s'attendait pas à cela, loin de là.

"Fred, fais pas de connerie."

"Lâche-moi."

"Fred ..."

Après avoir murmurer son nom, Georges s'approcha doucement de lui, et commença à l'embrasser dans le cou. Mais ses baisers n'avaient rien avoir avec ceux de la veille. Ils étaient plus tendres, beaucoup plus tendres. Mais Fred savait très bien ce qu'il essayait de faire. Il voulait l'amadouer, afin de pouvoir prendre à nouveau le dessus. Le rouquin tentait tant bien que mal de résister, mais lorsque son frère commença à déboutonner sa chemise et à lui parcourir le torse de baisers brûlants, il fut incapable de le repousser. Il savait bien qu'il le regretterais peu de temps après, mais à cet instant, il était heureux. Cela faisait trois ans qu'il attendait cela, trois ans qu'il espérait que son jumeau ai des gestes tendres envers lui. Tremblant de tout son corps, il lâcha sa baguette avant de prendre le visage de son frère entre ses mains, et de l'embrasser tendrement. Leurs langues commencèrent une danse enflammée, pendant que les mains de Georges s'occupaient des derniers boutons de la chemise de son frère. Le vêtement ne tarda pas à valser à l'autre bout de la pièce, et les deux amants s'allongèrent sur le lit, s'embrassant toujours. Tandis que Fred déboutonnait à son tour le pyjama de son double, ce dernier le parcourut de baisers sur le torse, la bouche et dans le cou. Les yeux de Fred pétillèrent alors qu'il se mordait les lèvres de plaisir, et le reste des vêtements des deux garçons ne tardèrent pas à connaître le même sort que leurs chemises. Toux deux avaient chaud, très chaud. Leurs corps brûlants étaient collés l'un à l'autre, et leur lèvres se scellèrent à nouveau en un tendre baiser.